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Faire confiance

Un jour en 1998, j’ai reçu une lettre d’Alicia, une amie du frère André. Alicia habite Aguascalientes, un petit village du Mexique. « Depuis ce petit village si éloigné de Montréal, je rends grâce de tout cœur à Notre Seigneur d’avoir exaucé ma prière par l’intercession de frère André et de saint Joseph. » « Je bénis le jour où il m’a été donné de lire la biographie de frère André. J’ai acquis beaucoup de foi et de confiance en ce ‘SAINT’ (Tuve mucha fe y confianza en este ‘SANTO’) et aussi en saint Joseph. Avec eux, une faveur est vite obtenue. »

La fête du Sacré-Cœur

par Claude Grou, c.s.c.

Membre de l'équipe pastorale de l'Oratoire Saint-Jospeh

juin 19, 2020 Fêtes et célébrations, Foi, Spiritualité

En ce troisième vendredi de juin, le Sacré-Cœur est à l’honneur. Que célèbre-t-on au juste ?

« Saint Joseph a été bon pour moi »

Un jour, en début d’année, après la messe, une dame âgée en fauteuil roulant me fait signe. Elle me remet une enveloppe et me transmet ses vœux de bonne année. Son regard dégage une belle sérénité et une grande paix. J’en reste impressionné.

Quand le cœur se souvient

par Nathalie Dumas

Rédactrice - Éditrice

juin 11, 2020 Fêtes et célébrations

Tant de fois j’ai accompagné mon père chez P.A. Gouin, Pascal, Handy Andy, Léopold Duplessis ou Canadian Tire y chercher un outil, de la peinture, une pièce d’auto, des matériaux de toutes sortes pour réparer, rénover ou bricoler.

Son établi était organisé avec le même soin que les tablettes et les rayons des quincailleries : les vis et les clous étaient classés selon leur format et leurs caractéristiques. Tout était à l’ordre, on s’y retrouvait.

Devenir riche en vue de Dieu

Le Frère André dont nous célébrerons le 10e anniversaire de la canonisation, a eu, comme beaucoup de gens encore aujourd’hui, son lot de misère et de malheurs. Orphelin de père et de mère dès l’âge de 12 ans, maladif et sans instruction, il a eu à trimer dur pour gagner sa vie et faire son chemin. Mais il n’était pas dépourvu pour autant.

Le coeur plein d’espérance

Un jour je rendais visite à une amie de longue date. Bien avant que je la connaisse – alors qu’elle était maman de huit enfants et enceinte d’un neuvième – elle a perdu son mari dans un accident de la route. Désemparée, elle s’était jetée au pied de son crucifix en suppliant : « Seigneur, lâche-moi pas! » Âgée de plus de 85 ans, Alice me témoignait que le Seigneur ne l’avait jamais abandonnée. Elle me disait encore : « Tu sais, même si je vis seule dans ma maison, je n’ai pas peur. En fait, je ne suis jamais seule. Le Seigneur est là, je le sens bien présent à mes côtés et avec lui, je ne suis jamais inquiète de ce qui peut arriver. » Son cœur était plein d’espérance et de sérénité face à l’avenir.

Découvrir en nous une force

Un jour Jésus amena les apôtres sur une haute montagne et il fut transfiguré devant eux. Une voix se fit entendre: “Celui-ci est mon Fils bien-aimé. Écoutez-le.” Les apôtres ont senti monter en eux une telle force qu’ils acceptent volontiers de redescendre de la montagne, prêts à suivre Jésus, à lui faire confiance dans le quotidien de la vie. Ils avaient compris ce que signifiait : « écouter le Fils bien-aimé de Père ».

La grippe espagnole

par Martin Brideau

Archiviste intérimaire - Province canadienne de la Congrégation de Sainte-Croix

mai 28, 2020 Histoire

Depuis sa fondation en 1904, l’Oratoire n’a fermé ses portes au public qu’à trois reprises. Mis à part la fermeture actuelle liée à la pandémie du coronavirus, l’Oratoire a également fermé ses portes pendant une semaine pendant la crise du verglas en 1998.

Décès de père Marcel Lalonde, c.s.c – Un bâtisseur de l’Oratoire n’est plus

Père Marcel Lalonde, c.s.c., est décédé le 26 mai 2020, à l’âge de 93 ans et 11 mois, des suites d’une longue maladie à la Maison Basile-Moreau des religieux de la Province canadienne de Sainte-Croix, à Montréal. Avec un zèle infatigable, père Lalonde a été le chef de file de la vie à l’Oratoire Saint-Joseph du Mont-Royal dont il a été le recteur pendant 30 ans.

Marie au coeur de nos vies

Le mois de mai me fait revivre un beau souvenir de mon enfance : un chant C’est le mois de Marie, c’est le mois le plus beau, à la Vierge chérie disons un chant nouveau. Dans plusieurs résidences une statue, une image, un chapelet évoquent sa présence. Appelons sa protection toute maternelle en pensant au drame humanitaire que nous vivons.

Marie, au cœur de nos souffrances

Marie, au cœur de nos souffrances; Marie au cœur des préoccupations de notre temps. Une présence discrète, mais combien rassurante et efficace. Tout comme sur la route menant au calvaire, la présence et le regard de Marie donnent la force de ne pas sombrer dans le désespoir face aux affres de la Covid-19. Le regard de Marie illumine et transforme tout chemin de croix en chemin d’espérance, de résurrection et de vie.

Marie au cœur de nos vies, chaque soir du mois de mai

« C’est le mois de Marie, c’est le mois le plus beau. ». Dans mon enfance, j’ai chanté souvent ce chant bien connu avec ma famille et les voisins du rang des Collines du petit village de Brébeuf où je suis né.

Chaque soir du mois de mai, avec les familles du rang, nous nous réunissions autour de la Croix de Chemin pour prier Marie.
Nous récitions le chapelet, chantions des cantiques, formulions des intentions de prière et fraternisions.