Catégorie : Saint Joseph

Le Pape François a placé l’année jubilaire 2025 sous le signe de l’Espérance. Il invite tous les disciples du Christ à être des pèlerins d’Espérance dans une rencontre vivante, personnelle et communautaire avec le Christ, « notre espérance » (cf. 1 Tm 1, 1) et « porte du salut » (cf. Jn 10, 7.9).

L’Oratoire Saint-Joseph du Mont-Royal s’inscrit dans cette dynamique ecclésiale et a choisi comme thème de la neuvaine 2025 : « Avec Joseph, marchons dans l’Espérance ».

Pour la Neuvaine à saint Joseph de 2025, nous poursuivons notre petite histoire de la chapelle votive.

L’un des vœux les plus chers de frère André était d’avoir une petite chapelle dédiée à saint Joseph, au flanc de la montagne du Mont-Royal. Ayant déposé dans le creux d’un arbre une petite statue de saint Joseph en plus d’y semer des médailles à son effigie, il aimait bien s’y rendre avec un ami pour le prier. Après avoir obtenu la permission du père Dion, son supérieur, de construire la petite chapelle, le frère André, aidé de quelques amis et de frère Abondius, a pu procéder quelques mois plus tard, à son ouverture, le 18 octobre 1904.

En 2024, nous soulignons le 4^e centenaire de la dédication du Canada à saint Joseph. Plusieurs instituts et congrégations religieuses du Québec lui portent une profonde affection qui remonte souvent aux tous premiers jours de leur existence. Nous les avons invités à nous parler de la place qu’occupe saint Joseph dans leur histoire.

En 2024, nous soulignons le 4^e centenaire de la dédication du Canada à saint Joseph. Plusieurs instituts et congrégations religieuses du Québec lui portent une profonde affection qui remonte souvent aux tous premiers jours de leur existence. Nous les avons invités à nous parler de la place qu’occupe saint Joseph dans leur histoire.

En 2024, nous soulignons le 4^e centenaire de la dédication du Canada à saint Joseph. Plusieurs instituts et congrégations religieuses du Québec lui portent une profonde affection qui remonte souvent aux tous premiers jours de leur existence. Nous les avons invités à nous parler de la place qu’occupe saint Joseph dans leur histoire.

L’Oratoire Saint-Joseph a débuté d’une façon particulière. Un frère de la Congrégation Sainte-Croix était portier au collège Notre-Dame situé sur le Mont-Royal. Il avait une dévotion de prière dédiée à saint Joseph, le père nourricier de Jésus. Il observait la montagne du lieu où il était, c’est-à-dire de l’entrée du collège. De son regard, il voyait un lieu de prière dédié à ce saint qu’il portait dans son cœur. Tranquillement, une initiative se formait dans sa tête et dans son cœur.

Des pèlerins se questionnent souvent sur la dévotion de saint frère André à saint Joseph. D’où vient-elle ? S’est-elle manifestée dans la jeunesse d’Alfred Bessette ? Était-ce une dévotion propre à la Congrégation de Sainte-Croix ? Comment en est-elle venue à prendre une telle importance ? Comment la vivait-il au quotidien ?

En 2024, nous soulignons le 4^e centenaire de la dédication du Canada à saint Joseph. Plusieurs instituts et congrégations religieuses du Québec lui portent une profonde affection qui remonte souvent aux tous premiers jours de leur existence. Nous les avons invités à nous parler de la place qu’occupe saint Joseph dans leur histoire.

Nous l’éprouvons tous, surtout quand il nous manque. Le repos est une nécessité. Nous en avons tous besoin, qu’il soit journalier, hebdomadaire ou annuel, pour nous remettre de la fatigue du travail,

La dévotion au Sacré-Cœur telle que nous la connaissons aujourd’hui s’est particulièrement développée à partir du XVIIe siècle, particulièrement avec les révélations à sainte Marguerite-Marie Alacoque.

« Le travail ennoblit l’homme », dit l’adage, mais, ajoute-t-on aussitôt : « il peut l’asservir et le réduire à l’esclavage ». C’est forte de cette sagesse que l’Assemblée des évêques catholiques du Québec tire la sonnette d’alarme sur la crise alimentaire en cours. Nos évêques nous invitent, dans un beau message que je vous invite à lire, à prêter attention à la crise alimentaire en cours, à analyser la situation à la lumière de l’Évangile et à envisager différentes pistes d’action pour que toutes et tous puissent manger à leur faim.